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Par Camille Bardin — Mars 2021

C’est un élan vital qui a poussé Séverine Assouline à devenir artiste. En 2012 elle posait la première pierre, modelait le premier corps : celui d’un dinosaure de grés, lourd de plus d’une centaine de kilos. À force de pugnacité, et malgré le fait qu’elle soit autodidacte, Séverine Assouline acquiert une adresse tant technique que sémantique. Les oeuvres qui suivent cette première réussite sont dans un premier temps introspectives, une manière pour elle d’entamer une déconstruction, d’interroger le féminin, sa mascarade et avec, la manière dont elle-même habite le Monde.

Par Michaël Stora — Décembre 2018
 

Human Flows​Suspendue à la corde tendue de la vie, les lambos de vie sont éparpillées. Serrés les uns à côté des autres, le radeau semble fragile. Couleurs entortillées,  vent debout, les flots des migrants viennent s’échouer sur les rivages limitants deux mondes. Rouge et noir, jaunes et bleus, les opposés créent pourtant des couleurs complémentaires.   Entremêlées, les tissages sont des liens accrochés pour ne pas sombrer dans la mer qui nous sépare.

presse

Marie Claire Maison, octobre 2019 - Jeu de cubes. L'appartement rationnel d'Ester Bruzkus est devenu une bonbonnière minimaliste, p 154.

francetvinfo , août 2019 - Sculpture en l'Ile

Juedische allgemeine​, décembre 2018 - Bilder für den guten Zweck

 

monacochannel, septembre 2017- Dématérialisation

 

damepipi.TV, février 2017 - Your body as a torchlight

 

Toutelaculture, janvier 2017 - L'exposition collective de chair et de matières

 

ARTiculAction Art Review, juillet 2016 - Summer Issue

 

PARISARTISTES#, octobre 2014 - Paradoxes humains et sculpture sous toutes ses formes

 

Artension, juin 2014 - Ras le bol vital

 

Orange TV, février 2014 - Quelques questions à Séverine Assouline

 

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